Quand mon cœur souffre et qu’Anahata se resserre jusqu’à cette sensation d’un douloureux pincement, j’essaye de continuer à respirer. A rester en ouverture. J’accueille la souffrance, les larmes, je cesse de résister. Je sais que si je résiste, tout le processus va durer beaucoup plus longtemps. J’accepte d’être vulnérable. Ma raison me dit que c’est une bonne occasion de cultiver le détachement…